médecine intégrative
Santé globale et prévention holistique
Comment préserver un microbiote buccal sain ?
Un brossage de dents efficace 3 fois par jour, et l’utilisation de brossettes interdentaires tous les soirs, dès qu’il y a des espaces interdentaires, afin d’éviter la stagnation de débris alimentaires qui vont nourrir les bactéries en tous genres, donc les mauvaises bactéries aussi.
Ne pas appauvrir sa flore par des excès d’antibiotiques, de prise orale d’huile essentielle trop concentrée, ou d’argent colloïdal, ni de bain de bouche sur le long terme.
Quels sont les signes à surveiller sur notre langue ?
Une langue avec une grosse fissure centrale, des zones noires, comme des trous, ou dépapillée ce sont des signes qui doivent vous alerter.
Quels sont les conséquences d’un déséquilibre buccal ?
Les bactéries présentes dans le tartre sont avalées et viennent agresser fortement l’estomac et l’intestin. Elles traversent la barrière intestinale et migrent dans le sang et les organes. Selon des études récentes, le Fusobacterium est impliqué dans la moitié des cancers de l’estomac et de l’intestin !
Pourquoi est-ce important ?
Nous n’avons pas « l’âge de nos artères » comme le dit l’adage, mais l’âge de notre barrière intestinale. Si celle-ci n’est plus étanche, c’est la porte ouverte à toutes les bactéries, virus, toxines, pesticides, etc. d’où vieillissement prématuré et cancers… Prévenir vaut mieux que guérir. Une fois que les tissus sont endommagés, la « maladie » bat son plein, le déséquilibre est difficile à contrôler.
Comprendre les mécanismes en jeu permet de changer ses habitudes et retrouver une hygiène de vie saine.

Une approche globale pour une santé durable
Soigner la bouche, c’est prendre soin de l’ensemble du corps
De la bouche a l’estomac il n’y a qu’une dizaine de centimètres. Les bactéries du tartre sont très agressives et impliquées dans la moitié des cancers de l’estomac et de l’intestin.
Si l’on ajoute à cela l’alimentation en générale trop sucrée (dysbiose) et la présence de virus trop souvent tolérés et non traités (les plus répandus étant les herpès virus, la mononucléose ou le Cytomegalovirus), on se retrouve avec un trio parfait pour une cascade de dominos qui mène aux principales afflictions de notre époque : syndrome métabolique, cancers, Alzheimer, Parkinson etc.
La médecine allopathique est bien armée pour lutter contre la maladie, mais prévenir reste encore la meilleure solution.